"Ah, c’est vous." Meurtre hors champ, on ne verra pas qui était à la porte. "Ça, c’est moi..." suivi d’une description à la première personne du personnage en voix off puis d’une personne de son entourage sur un montage dynamique. "Il faut que je te dise quelque chose..." "Oh ! Pendant que j’y pense (anecdote futile) bon tu voulais me dire quelque chose ?" "Non non c’est rien, t’inquiète pas." "Je fonds !" "Je ne veux pas te faire de mal... Je veux juste t’aider." "Je vous laisse ma carte, si vous vous souvenez de quelque chose, appelez-moi..." "John n’existe plus, dorénavant appelez moi..." "Laissez-moi passer, je suis médecin !" "Mange, tu vas avoir besoin de forces." "Ne tirez pas." "Oh regardez là !" mais en fait il n’y a rien c’est une astuce pour s’enfuir pendant que les gens regardent. "Qui va là ?" "Miaou". "Si c’est une blague, elle n’est pas drôle." "Si je ne peux pas l’avoir, personne ne l’aura !" "Si vous recevez ce message, c’est que..." "Suivez cette voiture !" "Vous aviez promis de me libérer si j’obéissais !" "J’ai menti." À la fin ils s’embrassent avec une musique romantique... Après être entré et avoir claqué la porte, le 9 était mal fixé et se retourne en un 6. Arrivée du personnage principal en prison : douche froide au jet sous haute tension. Au feu rouge : vroum vroum inutile. Au lieu de diffuser la vidéo prévue par le méchant, ça diffuse une vidéo de lui expliquant son plan diabolique. Au moment du tir fatal, le chargeur est à court de munitions. Au moment où le personnage s’apprête à déclarer sa flamme, il apprend que la personne en aime une autre. Au réveil, il ne reste qu’un message indiquant pourquoi l’autre personne a dû partir. Bagarre de saloon. Bagarre de tartes à la crème. Brief du boss à ses employés ponctué d’un : "Vous avez entendu le boss ? Allez, et on traîne pas". Ça ne marche plus dans le couple, scène où l’on voit l’un s’endormir et l’autre qui reste les yeux ouverts au premier plan. Ça va tellement bien que le personnage quitte son job et va enfin parler à la fille qu’il convoite. Ça va tellement mal qu’une voiture éclabousse en passant le pantalon de la personne. Champ-contrechamp interminable pour faire monter la tension. Chez la voyante, les banalités du début cèdent place à un vrai malaise. Elle préfère rembourser la séance plutôt que révéler ce qu’elle a vu. Conversation tendue pendant une séance de dédicace. Conversation vidéo entre un astronaute et sa famille. Couple en crise, ils jettent des valises et des pianos par la fenêtre. Course poursuite dans un lieu public, le héros est stoppé et s’apprête à tirer sur le fuyard à travers la foule mais relève son arme, le laissant s’échapper. Dans le couloir du lycée remplis de casiers, le souffre-douleur se fait harceler par les beaux gosses sportifs. Dans les couloirs d’une institution, quelqu’un d’important discute avec ses subordonnés en marchant vite. Dans une bibliothèque universitaire, le protagoniste refuse de sortir s’amuser avec ses amis. De dos ça a l’air d’être la personne recherchée mais elle se retourne et non pas du tout. Découverte de son super-pouvoir par le personnage qui le détient. Dernier soubresaut après la fausse fin. Des personnages sont réunis dans une boîte de nuit et essayent de parler mais le son est beaucoup trop fort. Des personnes heureuses chantent en voiture. Des scientifiques isolés sont les premiers à détecter une menace cataclysmique. Deux personnages se bousculent dans la rue et s’embrouillent un peu, ils seront amenés à se revoir par hasard dans une situation où ils devront sympathiser. Deux personnes censées se détester ou d’un milieu social différent ou d’une orientation sexuelle qui semble les opposer finissent par s’embrasser. Deux personnes se croisent dans un décor désertique. Moment de tension. Dîner chic. Un personnage ne sait pas se servir des couverts dans le bon ordre. Dîner poli entre deux ennemis jurés. Discussion de couple devant la porte le premier soir. Dispute dans l’ascenseur. La porte s’ouvre, et les personnages font comme si de rien n’était. Dispute familiale sur fond de bouilloire sifflante. Duel mexicain (dans lequel chacun pointe son fusil sur une autre personne). Échange discret de verres pendant que personne ne regarde. En classe, un élève lève la main pour répondre. Le prof fait semblant de ne pas le voir. En coulisse, quelqu’un défait une corde et des sacs de sable tombent sur les poursuivants. En fait les héros avaient le trésor en leur possession depuis le début. Enchaînement de plans d’essayages de costumes devant la cabine. Entraînement intensif en musique. Est-ce que quelqu’un dans la salle s’oppose à cette union ? Eh oui, la personne qui débarque à ce moment-là. Faut-il décrocher ? Fin abrupte sur une fête délirante sans rapport avec le reste du récit. Gros plan d’un animal familier non-humain dans une situation menaçante pour les humains. Il faut s’enfuir mais la voiture refuse de démarrer. Il faut sortir du véhicule en équilibre au dessus du ravin. Ils jouent aux échecs en discutant, la scène se finit par un mat. Ils ont des armes à feu mais préfèrent se battre à mains nues ou avec des objets antiques. Ils vont presque s’embrasser mais sont interrompus. Intervention divine avec rayons de lumière dans le ciel et voix lointaine. Junior est dans sa chambre, il a peur. Dans la pénombre, ses jouets prennent un air menaçant. Junior fouille dans le tiroir-photo et découvre que son papa était, à son âge, dans une situation similaire. Junior joue avec son équipe, c’est le jour du match important, sa mère est dans le public mais le père ne viendra pas... Junior prend son petit-déjeuner. "Comment veux-tu tes œufs ?". L’arrivée à un motel américain paumé dont certaines lettres de l’enseigne clignotent. L’arrosage automatique se lance tandis que le héros est dans le jardin. L’ascenseur tombe en panne au pire moment. L’enfant dit à son beau-père "Tu n’es pas mon père". L’enseigne vacillante du motel indique "M TEL". L’incarnation du mal est représentée par un œil. L’inspecteur explique tout et finit par dénoncer le coupable. L’ordinateur dit "accès refusé". L’un des personnages découvre un objet inquiétant dans les tiroirs pendant que l’hôte avec qui il vient de passer une nuit est parti prendre une douche. La caméra filme un couple dans un lit, à la verticale depuis le plafond. Ils soufflent, l’air satisfait. La conférence de presse s’est très bien passée mais au dernier moment un évènement catastrophique vient tout compromettre. La femme fatale fait un tour de chant au cabaret et va frôler les clients. La fille considérée comme banale devient une bombe en changeant un détail dans son apparence. La fille de la bande soigne le gros dur avec une compresse imbibée d’alcool, ça pique. La friandise reste bloquée dans le distributeur automatique : le destin s’acharne sur le pauvre protagoniste. La maman non-humaine attaque les humains. La même nouvelle est annoncée par des présentateurs du monde entier dans des langues différentes. La mère regarde Junior avec un air attendri s’entraîner avec son père dans le jardin. La scène pendant laquelle on entend en voix off un récapitulatif des conseils ou prophéties qui ont été donnés au personnage au cours du film. La voiture est à l’arrêt et le piéton essaye de la rattraper mais au moment où il arrive à son niveau elle accélère et recommence. Le bad boy agite son couteau. Le commissaire, qui ne supporte plus les deux héros, réquisitionne leurs badges. Le criminel raccroche à peu près au moment où il va être localisé. Le facteur, ou un enfant à vélo, lance le journal dans le jardin et le chien aboie, heureusement la laisse est pile trop courte. Le flingue est en fait un briquet ou un jouet avec un drapeau. Le geôlier dort. Il faut récupérer le trousseau de clés sans le réveiller. Le gros dur du groupe dit « On a de la compagnie » quand la menace approche. Le héros dit à ses amis qu’il doit accomplir cette ultime quête seul. Ses amis insistent pour l’accompagner. Le héros épargne le méchant. Le héros est dans une situation critique mais fait quand même une blague bien trouvée. Le héros est ralenti par un gros obstacle qui lui coupe le trajet, un panier d’oranges est renversé. Le héros ne veut plus être un héros mais le second rôle le convainc de revenir en quelques minutes. Le héros s’infiltre à plat ventre, ses yeux tombent sur une paire de bottes. Mince, attrapé ! Le méchant fait mine de laisser tomber mais attrape une arme. Le héros dégaine plus vite et tire. Le méchant s’introduit dans une chambre d’hôpital pour achever un témoin. Un flic monte la garde. Le méchant, à terre, semble vaincu mais tente un dernier coup. Il meurt. Le méchant, s’apprêtant à tuer le héros, commence par lui expliquer tous les secrets de son plan. Le passage secret s’ouvre quand on tire un livre dans la bibliothèque. Le père met la pression au copain de sa fille. Rires et tape dans le dos pour conclure. Le personnage censé être mort est en fait présent dans la foule. Le personnage croit avoir effrayé un ennemi mais une menace plus grande apparaît derrière lui. Le personnage plus gros ne passe pas par l’ouverture. Le plan devient large et on entend un cri de rapace. Le prisonnier explique qu’on viendra à sa rescousse et qu’il ne valait mieux pas l’emprisonner. Le radeau fonce vers une cascade. Le spectacle n’a toujours pas commencé et le public s’impatiente. Le suspect est innocenté, on lui enlève les menottes ; il se frotte les poignets. Le téléphone sonne juste avant une révélation potentielle. Le train démarre, la personne a quai court un peu après le train et celle dans le train se penche à la vitre. Le véhicule saute au dessus du ravin. Lendemain de fête, on se réveille difficilement au milieu des sous-vêtements, vomis et inconnus qui traînent ça et là. Les noms de toutes les personnes qui ont travaillé sur le film sont écrits sur une liste déroulante. Les personnages prononcent les mêmes répliques en même temps : "J’ai quelque chose à te dire." "Vas-y." "Non, toi d’abord.". Les personnages s’embrassent pour ne pas qu’on les remarque. Les personnages se rendent compte que le tueur est parmi eux depuis le début. Lors d’un combat avec le héros, le méchant s’élimine tout seul par maladresse. Métaphore sexuelle à base de trains, tunnels, fusées. Moment d’introspection pendant lequel le protagoniste effectue des ricochets. Moment où les personnages commencent à parler d’une façon progressivement rythmée pour annoncer le fait qu’ils vont chanter car c’est une comédie musicale. Mort d’un personnage juste avant d’avoir pu révéler une information cruciale. Objet crucial prêt à tomber dans le vide, rattrapé au dernier moment. On a perdu un enfant on le cherche partout. On arrive dans la salle du méchant qui est un couloir bien symétrique. On augmente le niveau de détails de l’image sur l’écran. On comprend que la voix off qu’on entend depuis le début est celle du protagoniste. On demande à une personne d’exercer ses talents pour prouver qu’elle est bien qui elle prétend être. On démarre la machine dans la hâte alors qu’on n’en est qu’à la phase de test. On jette un caillou dans un trou pour estimer la profondeur. On n’a pas le temps de sauver d’autres prisonniers pendant l’évasion mais on le fait quand même. On retire une affaire à un agent qui va quand même continuer à enquêter. Passage à la douane avec une chose cachée en cargaison. "Vous pouvez ouvrir le coffre ?" dit le douanier. Pendant la transformation, on voit uniquement l’ombre du personnage sur le mur. Pendant qu’ils sont au lit, il y a un coup de fil, la femme embête l’homme qui essaye de rester sérieux au téléphone. Plan fixe sur une rue déserte où seule une personne marche au milieu. Plan fixe un peu long d’un paysage calme puis un grand bruit accompagne une action soudaine. Plan sur le réveil qui sonne, plan du personnage qui fait des pompes, plan sur le personnage qui fait ses lacets. Plan sur un chat caressé par le méchant. Pour allumer un feu, un personnage jette directement son zippo sans le refermer. Préliminaires interrompus par l’entrée d’un enfant qui n’arrive pas à dormir. Préparation d’un plan absurde. "J’ai exactement la personne qu’il vous faut." Suivi d’un plan de la vie quotidienne de la personne en question. Quelqu’un a pété dans l’ascenseur, mais on ne sait pas qui. Quelqu’un commande du vin dans un grand restaurant. Le serveur répond : "Excellent choix". Quelqu’un dit "j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle". Quelqu’un dit un propos déplacé au micro, la salle reste silencieuse et le micro fait un larsen avant ou après le discours. Quelqu’un donne un coup dans un mur de rage et se fait mal. Quelqu’un enlève ses lunettes de soleil en signe de surprise. Quelqu’un entre par surprise dans la chambre et surprend un couple s’adonnant à un fétichisme excentrique. Quelqu’un est blessé et dit "Continuez sans moi.". Quelqu’un est caché derrière un objet et émet un bruit involontaire. Quelqu’un joue d’un instrument de musique pas synchro avec le son. Quelqu’un menace à demi-mots un autre. Silence tendu puis finalement la personne dit que c’était une blague. Quelqu’un meurt. On lui ferme lentement les paupières. Quelqu’un parle à son reflet dans le miroir. Quelqu’un pète un plomb et casse tout dans la maison. Quelqu’un pleure en s’adressant à Dieu. Quelqu’un revient pour reconquérir son ex mais il voit à travers les vitres qu’il a été remplacé. Quelqu’un s’impatiente et frappe à la cabine téléphonique. Quelqu’un sur une corniche espionne par la fenêtre. Quelqu’un va poser des fleurs au cimetière. la personne parle au défunt à voix haute. Quelqu’un, qui ne peut pas révéler un secret, dit à la place quelque chose de vague en bafouillant. Quelque chose d’effrayant apparaît en arrière-plan, puis disparaît quand le plan revient. Rassemblement de soutien type "alcooliques anonymes" en cercle, chacun se présente. Rencontre d’un futur couple dans un lieu public culturel. Retour à la réalité, mais les gens du monde réel ressemblent étrangement à ceux du monde imaginaire. Réveil en sursaut. Ce n’était qu’un rêve. Révélation sur un personnage apprise parce qu’il passe à la télé dans un bar. Scène à une époque sans eau courante le héros prend son bain en rigolant avec les servantes qui le lavent. Un personnage important arrive, les servantes doivent sortir. Scène d’humiliation sur son lieu de travail d’un personnage en passe d’évolution psychologique. Scène de combat entre le héros et le méchant, de nuit sur le toit d’un bâtiment. Scène de flashback sur un traumatisme du personnage. Scène où il faut partir en urgence avec un moyen de transport inadapté. Scène qui commence par la fin d’un cours universitaire. Scène violente sous le regard d’un enfant. Scènes de racket "Dis donc, elle est sympa ta veste...". Séance de cinéma : on regarde un film ancien à la pellicule vieillie. Ton coéquipier sera... "Oh non pas lui !". Travelling sur une rue de banlieue américaine avec musique paisible, les gens se lancent des bonjours de part et d’autre. Travelling vertical sur des chaussures accrochées par les lacets à un fil électrique. Un acteur déchu accepte une pub ridicule pour payer ses factures. Un artiste désargenté regarde la ville de sa fenêtre de l’entre sous-sol où on voit que les pieds des gens. Un chemin en pétales de roses mène au lit conjugal ou à la baignoire. Un compte à rebours jusqu’à explosion est arrêté juste avant zéro. Un couloir avec plein de portes, course-poursuite pendant laquelle on entre par une porte et on ressort par une autre d’une façon qui semble n’avoir aucune logique. Un couple s’apprête à batifoler au lit mais un coup de fil oblige l’un des deux personnages à partir pour une raison obscure. Un couple va à l’opéra. L’un s’ennuie, l’autre est très ému. Un des enfants de la famille doit préparer une maquette de volcan, fourmilière ou robot pour son projet de science. Un dîner aux chandelles, la personne ne vient pas, les bougies ont fondu. Un enfant a vécu une expérience obscure, on retrouve ses dessins qui représentent tous des démons gribouillés. Un enfant entre avec un nounours pendant une dispute. "C’est rien mon trésor". Un héros se jette dans le vide mais il est rattrapé par un élément volant. Un méchant débarque au dernier moment, arme au poing, et remercie les gentils d’avoir fait tout le boulot. Un méchant repenti bascule du bon côté. Toute sa bande hésite puis suit. Un objet utile tombe dans la bouche d’égout et continue son parcours sous-terrain. Un parent passe devant la chambre de son enfant disparu : lumière tamisée, une légère couche de poussière sur les objets personnels qu’il n’a pas osé déplacer depuis l’accident. Un personnage anodin se rend soudain sympathique puis meurt. Un personnage arrive à la réunion un peu après les autres et tout le monde le regarde avec insistance. Un personnage dit "Non !" à genoux, regardant vers le haut, filmé en plongée. Un personnage en attend un autre dans un café en lisant, le spectateur peut lire le titre du livre. Un personnage est livré à un dilemme qui déterminera sa destinée morale. Un personnage habillé bizarrement prend l’ascenseur en essayant d’être discret mais tout le monde le regarde. Un personnage haut placé, vu de dos, regarde à travers une baie vitrée. Un personnage menaçant sort un couteau mais en fait c’est pour couper les liens qui sont autour des mains de l’autre personnage. Un personnage poursuivi tente d’ouvrir une porte mais ne trouve pas la bonne clef et fait tomber le trousseau dans la précipitation. Un personnage prend trois gélules dans une armoire à pharmacie et les avale bruyamment sans eau. Un personnage provoque un effet domino en renversant toutes les étagères ou motos. Un personnage regarde un vieux programme en noir et blanc à la télé, une caricature burlesque de la situation qu’il vit. Un personnage se met à saigner du nez. Ça jette un froid. Un personnage se regarde dans la glace dans la salle de bain et se passe de l’eau sur le visage. Au moment où il se redresse, quelque chose d’effrayant est apparu dans le reflet. Un personnage secondaire dit au personnage principal que l’action que ce dernier s’apprête à effectuer est suicidaire. Le personnage principal effectue l’action sans tenir compte de cette mise en garde. L’action est réussie. Un personnage utilise une interface holographique abstraite avec les mains. Un personnage veut prendre l’ascenseur seul, mais il y a une autre personne qui arrive. Il appuie discrètement sur le bouton pour fermer la porte, mais trop tard, la personne est entrée. Il fait un sourire un peu gêné. Un premier repas avec la belle-famille. Un proche au chevet du personnage hospitalisé recueille ses dernières paroles. Un protagoniste rentre dans sa voiture, il est maintenant hors de danger mais une ou deux personnes se dévoilent sur les sièges arrières. Un protagoniste utilise un ordinateur lambda, son interface graphique ne correspond pourtant à rien d’existant. Un protagoniste va faire pipi dans des toilettes communes et entend une conversation qu’il n’aurait pas dû entendre. Un réveil sonne : il est l’heure de se lever. Un soldat se cache derrière une porte, guette le couloir. La caméra révèle qu’un enfant est dans la pièce et qu’il dévisage le soldat. Le soldat lui fait signe de ne pas faire de bruit. Un ventilateur a des bandelettes accrochées dessus. Une bataille d’oreillers. Une cabine téléphonique sonne dans un lieu désert. Une clef ou une arme est tout juste trop loin pour que le personnage puisse l’atteindre le bras tendu. Une course-poursuite qui passe par les cuisines d’un restaurant ou d’un marché et tout est renversé. Une personne applaudit, puis une autre, etc, jusqu’au hourra total. Une personne dit que "non, je ne ferai pas ça". Ensuite il y a une ellipse et on la voit faire la chose. Une personne recherchée passe devant son avis de recherche et dissimule son visage. Une pièce d’un immeuble prend feu, l’intégralité des asperseurs arrosent l’étage entier. Une poursuite dans ou sur un train. Victime vue du point de vue du prédateur dissimulé. Violente dispute de couple suivie d’une scène d’amour intense.